Avr 23 2009
Toronto – Des produits chimiques utiliser pour traiter les poux, un additif dans les matières ignifuges, des produits chimiques qui procurent de la protection pour divers biens de consommation contre les taches et les graisses, et des pesticides qui ne sont plus produits depuis longtemps seront ciblés pour être éliminer mondialement lors d’une prochaine rencontre aux Nations unies sur les polluants organiques persistants (POPs). Ces POPs se retrouvent un peu partout au Canada incluant les grands lacs et l’arctique.
Selon les travaux du Comité de Révision des POPs, un groupe d’experts établit sous les auspices de la Convention de Stockholm des polluants organiques persistants, neuf POPs ont été recommandés pour l’élimination selon la Convention de Stockholm. Le Canada ainsi que les 162 pays signataires seront appeler à prendre une action globale pour les éliminés. Cette réunion aux Nations Unies est la première opportunité d’étendre la Convention de Stockholm en élargissant la liste des produits à éliminés.
«Le soutien du Canada pour éliminé les neufs POPs tel que recommandé par le comité d’experts internationaux est essentiel pour que la réunion des Nations Unies soit un succès d’après», a déclaré Fe de Leon, chercheure à l’Association canadienne du droit de l’environnement (ACDE). «Nous avons atteint un point crucial dans la vie de cette convention. Nous espérons voir le Canada faire preuve de leadership à nouveau pour l’élimination de ces POPs. Ceci enverra un signal clair que notre gouvernement désire protéger les canadiens et l’environnement, et en particulier l’arctique, contre les POPs.»
Des groupes environnementaux et de protection de la santé ou fait parvenir une lettre au premier ministre Stephen Harper lui demandant son soutien pour l’élimination de ces neufs POPs.
- Éther de Pentabromodiphenyl (Penta BDE)
- Éther d’Octabromodiphenyl (OctaBDE)
- Hexabromobiphenyl (HBB)
- Lindane
- Alpha hexachlorocyclohexane (Alpha HCH)
- Béta hexachlorocyclohexane (Beta HCH)
- Perfluorooctane sulfonate (PFOS)
- Chlordecone
- Pentachlorobenzène (PeCB)
La Convention de Stockholm sur les POPs est une entente international qui souligne une action mondiale face aux polluants organiques persistants qui sont reconnus pour demeurer dans l’environnement longtemps (persistant), pour s’accumuler dans le corps humain et autres êtres vivants (bio cumulatif), pour voyager de longues distances de leurs lieux d’origine (transport à longue porté) et qu’ils sont toxiques pour les humains et la faune. Parmi les effets sur la santé on retrouve des malformations congénitales, cancer, système immunitaire, système de reproduction, problèmes d’apprentissage et l’infertilité. «Nous savons que le Canada est vulnérable aux impactes des POPs.» D’après Delores Broten de Reach for Unbleached, un groupe de Colombie Britannique. «Nous sommes bien placés pour demander une élimination globale de ces POPs.
Nous avons adoptés des règlements pour restreindre et interdire la pluparts des POPs. Avec la disponibilité de produits alternatifs sécuritaires il n’y a aucun doute que nous soutenons cette élimination.
Actuellement, la Convention de Stockholm vise la «douzaine sale» tel que le DDT, BPC, dioxines, hexachlorobenzène et le mirex. «L’addition des neufs nouveaux POPs a éliminés est une réaffirmation de l’engagement mondial pour combattre la pollution», a dit Gideon Forman, directeur de l’Association Canadienne des médecins pour l’environnement (ACME). «L’utilisation du lindane pour tuer les poux devrait être interdite vu l’impacte sur la santé des enfants et la disponibilité de produits alternatifs. A moins d’une élimination les POPs continueront à se déposés au Canada.»
«Des milliers de canadiens on lu notre publication Cancer Smart Guide et on été choqués de voir que plusieurs POPs tel que les matières ignifuges PBDE, et le lindane dans le traitement pour les poux sont toujours utilisés au Canada», a déclaré Sean Griffin de Toxic Free Canada. «Maintenant que Santé et Environnement Canada introduisent des nouveaux règlements pour contrôler l’usage des POPs, le prochain pas du gouvernement devrait être d’appuyer la recommandation de Comité de révisions des POPs soit d’éliminé ces produits chimiques.
«Une fois relâcher dans l’environnement il est difficile de prévoir quelle dommages causeront ces produits chimiques», ont dit Michel Gaudet et Rohini Peris de l’Association pour la santé environnementale du Québec (ASEQ). «Nous avons vu personnellement que l’exposition à ces produits peuvent avoir des impactes à long terme sur la santé, comme des symptômes débilitants et des hypersensibilités environnementales. Il y a des ressources et des groupes de soutien, mais ils ne réussissent pas à aider adéquatement les victimes. C’est pourquoi il est urgent d’agir au sujet de ces POPs et ça à travers la planète.
D’après Olga Speranskaya du Réseau international pour l’élimination des POPs, «les neuf substances recommandés par le comité de Révision des POPs devraient être éliminés en les ajoutant à l’annexe A de la Convention. Le Canada a joué un rôle crucial en prenant des mesures pour éliminer les substances toxiques et en soutenant des pays à travers le monde pour leur travail concernant les produits chimiques. Le leadership du Canada est primordial pour que d’autres puissent atteindre leur engagement d’éliminer les POPs.
Le Canada fut le premier pays à signer et ratifier la Convention de Stockholm pour les polluants organiques persistants en 2001. Les participants à la Convention de Stockholm se réuniront du 4 au 8 mai 2009 à Genève en Suisse.
-30-
Pour plus d’information, ou pour une entrevue SVP contactez:
Fe de Leon, Association canadienne du droit de l’environnement /Canadian Environmental Law Association, (416)960-2284 ext. 223 (office); (416)624-6758 (cellular)
Delores Broten, Reach for Unbleached, (250)339-6117 Sean Griffin, Toxic Free Canada, (604)254-9412
Gideon Forman, Association Canadienne des médecins pour l’environnement / Canadian Association of Physicians for the Environment, (416)306-2273
Michel Gaudet, Association pour la santé environnemental du Québec, (514)683-5701
Olga Speranskaya, International POPs Elimination Network (IPEN), (416)760-9526
Derek Coronado, Citizens Environment Alliance of southwestern Ontario, (519)973-1116
Elaine Macdonald, Ecojustice, (416) 368-7533
Anna Tilman, STORM Coalition, (905)841-0095
Linda Thomson, Women’s Healthy Environments Network, (416) 928-0880
Produits toxiques dans le traitement pour les poux, matières ignifuges, produits résistants aux taches et à l’eau, et de vieux pesticides sont ciblés pour une élimination mondiale sous une entente des Nations Unies :
On demande au Canada d’appuyer les résultats trouvés par des experts internationaux pour éliminer les produits chimiques toxiques que l’on retrouve dans l’arctique canadien.
Toronto – Des produits chimiques utiliser pour traiter les poux, un additif dans les matières ignifuges, des produits chimiques qui procurent de la protection pour divers biens de consommation contre les taches et les graisses, et des pesticides qui ne sont plus produits depuis longtemps seront ciblés pour être éliminer mondialement lors d’une prochaine rencontre aux Nations unies sur les polluants organiques persistants (POPs). Ces POPs se retrouvent un peu partout au Canada incluant les grands lacs et l’arctique.
Selon les travaux du Comité de Révision des POPs, un groupe d’experts établit sous les auspices de la Convention de Stockholm des polluants organiques persistants, neuf POPs ont été recommandés pour l’élimination selon la Convention de Stockholm. Le Canada ainsi que les 162 pays signataires seront appeler à prendre une action globale pour les éliminés. Cette réunion aux Nations Unies est la première opportunité d’étendre la Convention de Stockholm en élargissant la liste des produits à éliminés.
«Le soutien du Canada pour éliminé les neufs POPs tel que recommandé par le comité d’experts internationaux est essentiel pour que la réunion des Nations Unies soit un succès d’après», a déclaré Fe de Leon, chercheure à l’Association canadienne du droit de l’environnement (ACDE). «Nous avons atteint un point crucial dans la vie de cette convention. Nous espérons voir le Canada faire preuve de leadership à nouveau pour l’élimination de ces POPs. Ceci enverra un signal clair que notre gouvernement désire protéger les canadiens et l’environnement, et en particulier l’arctique, contre les POPs.»
Des groupes environnementaux et de protection de la santé ou fait parvenir une lettre au premier ministre Stephen Harper lui demandant son soutien pour l’élimination de ces neufs POPs.
La Convention de Stockholm sur les POPs est une entente international qui souligne une action mondiale face aux polluants organiques persistants qui sont reconnus pour demeurer dans l’environnement longtemps (persistant), pour s’accumuler dans le corps humain et autres êtres vivants (bio cumulatif), pour voyager de longues distances de leurs lieux d’origine (transport à longue porté) et qu’ils sont toxiques pour les humains et la faune. Parmi les effets sur la santé on retrouve des malformations congénitales, cancer, système immunitaire, système de reproduction, problèmes d’apprentissage et l’infertilité. «Nous savons que le Canada est vulnérable aux impactes des POPs.» D’après Delores Broten de Reach for Unbleached, un groupe de Colombie Britannique. «Nous sommes bien placés pour demander une élimination globale de ces POPs.
Nous avons adoptés des règlements pour restreindre et interdire la pluparts des POPs. Avec la disponibilité de produits alternatifs sécuritaires il n’y a aucun doute que nous soutenons cette élimination.
Actuellement, la Convention de Stockholm vise la «douzaine sale» tel que le DDT, BPC, dioxines, hexachlorobenzène et le mirex. «L’addition des neufs nouveaux POPs a éliminés est une réaffirmation de l’engagement mondial pour combattre la pollution», a dit Gideon Forman, directeur de l’Association Canadienne des médecins pour l’environnement (ACME). «L’utilisation du lindane pour tuer les poux devrait être interdite vu l’impacte sur la santé des enfants et la disponibilité de produits alternatifs. A moins d’une élimination les POPs continueront à se déposés au Canada.»
«Des milliers de canadiens on lu notre publication Cancer Smart Guide et on été choqués de voir que plusieurs POPs tel que les matières ignifuges PBDE, et le lindane dans le traitement pour les poux sont toujours utilisés au Canada», a déclaré Sean Griffin de Toxic Free Canada. «Maintenant que Santé et Environnement Canada introduisent des nouveaux règlements pour contrôler l’usage des POPs, le prochain pas du gouvernement devrait être d’appuyer la recommandation de Comité de révisions des POPs soit d’éliminé ces produits chimiques.
«Une fois relâcher dans l’environnement il est difficile de prévoir quelle dommages causeront ces produits chimiques», ont dit Michel Gaudet et Rohini Peris de l’Association pour la santé environnementale du Québec (ASEQ). «Nous avons vu personnellement que l’exposition à ces produits peuvent avoir des impactes à long terme sur la santé, comme des symptômes débilitants et des hypersensibilités environnementales. Il y a des ressources et des groupes de soutien, mais ils ne réussissent pas à aider adéquatement les victimes. C’est pourquoi il est urgent d’agir au sujet de ces POPs et ça à travers la planète.
D’après Olga Speranskaya du Réseau international pour l’élimination des POPs, «les neuf substances recommandés par le comité de Révision des POPs devraient être éliminés en les ajoutant à l’annexe A de la Convention. Le Canada a joué un rôle crucial en prenant des mesures pour éliminer les substances toxiques et en soutenant des pays à travers le monde pour leur travail concernant les produits chimiques. Le leadership du Canada est primordial pour que d’autres puissent atteindre leur engagement d’éliminer les POPs.
Le Canada fut le premier pays à signer et ratifier la Convention de Stockholm pour les polluants organiques persistants en 2001. Les participants à la Convention de Stockholm se réuniront du 4 au 8 mai 2009 à Genève en Suisse.
-30-
Pour plus d’information, ou pour une entrevue SVP contactez:
Fe de Leon, Association canadienne du droit de l’environnement /Canadian Environmental Law Association, (416)960-2284 ext. 223 (office); (416)624-6758 (cellular)
Delores Broten, Reach for Unbleached, (250)339-6117 Sean Griffin, Toxic Free Canada, (604)254-9412
Gideon Forman, Association Canadienne des médecins pour l’environnement / Canadian Association of Physicians for the Environment, (416)306-2273
Michel Gaudet, Association pour la santé environnemental du Québec, (514)683-5701
Olga Speranskaya, International POPs Elimination Network (IPEN), (416)760-9526
Derek Coronado, Citizens Environment Alliance of southwestern Ontario, (519)973-1116
Elaine Macdonald, Ecojustice, (416) 368-7533
Anna Tilman, STORM Coalition, (905)841-0095
Linda Thomson, Women’s Healthy Environments Network, (416) 928-0880
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